Thursday, June 19, 2008

La boheme


"Montmartre en ce temps-là
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue
La bohème, la bohème
Ça voulait dire on est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Dans les cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire


...


Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout"







Quien



Cuánto vive el hombre, por fin?
Vive mil días o uno solo?
Una semana o varios siglos?
Por cuánto tiempo muere el hombre?
Qué quiere decir “Para siempre”?


(Pablo Neruda, Y cuánto vive)

Quien: http://www.trilulilu.ro/ABBAfan/4d7c85d4f9d0a4

Saigon



Moto : « Ici, l’horizon libre de toutes parts
et, bien au-delà de l’horizon silencieux et désert,
encore du désert et du silence.» (Jules Boissiere)

«Ruta curselor regulate de la Marsilia la Port-Saïd si canalul de Suez, Djibouti, Colombo, Singapore, capul Saint-Jacques şi apoi, confuz, râul Saïgonului, se înscriseseră dintru începuturi pe faţa călătorului de secol trecut ca un blestem resemnat într-o carte albă de rugăciuni »


(Andrada Fatu,
Prima fraza dintr-o critifictiune nescrisa)









Friday, June 13, 2008

Nostalgia



"La vida no es la que uno vivió, sino lo que uno recuerda y cómo la recuerda para contarla"(Gabriel García Márquez)

On prend toujours un train pour quelque part...



http://www.trilulilu.ro/codrea/ceb78f8a371dac

"Une gare au petit matin, Deux amours se tiennent la main.Ils sont tristes ou ils sont heureux.On n'en sait rien, mais ils sont deux. La vie c'est ça, tu le sais bien :Un train s'en va, un autre vient.On prend toujours un train pour quelque part,Un grand train bleu, un grand train blanc, un grand train noir.On prend toujours un train pour quelque part.Au bout du quai flottent des mains et des mouchoirs.Toi et moi, nous irons très loin.On s'aimera tant et si bienQue le monde entier n'en sauraNi le comment ni le pourquoi.Un jour, les derniers jours viendront.Nous prendrons le dernier wagon.On prend toujours un train pour quelque part,Un grand train bleu, un grand train blanc, un grand train noir.On prend toujours un train pour quelque part.Au bout du quai flottent des mains, des au revoir."

Gilbert Bécaud

On prend toujours un train pour quelque part
Paroles: Louis Amade. Musique: Gilbert Bécaud 1968

Bonjour Tristesse


It seems to me that there are two kinds of trickery: the "fronts" people assume before one another's eyes, and the "front" a writer puts on the face of reality. Francoise Sagan